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Tumeurs du cerveau

Tumeurs du cerveau : le mal de tête persistant peut être un signal d’alerte

Il existe plusieurs types de tumeurs du cerveau, certaines sont bénignes, d’autres malignes. Les signes sont très variables, le mal de tête persistant ou atypique est le plus courant, mais il peut aussi s’agir d’une crise d’épilepsie à début focal ou d’un déficit d’une fonction neurologique (parole, motricité, vision, audition...).

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Comment vivre avec une tumeur cérébrale ?

Que ce soit au moment de l’annonce du diagnostic puis pendant le traitement et la convalescence, le malade doit être bien entouré pour mieux faire face à la maladie. Il ne doit pas hésiter à se faire aider par des professionnels spécialisés. Les psychologues, les psychiatres, les assistantes sociales, les associations de patients sont là pour informer et aider les malades et leurs proches.
La vie professionnelle est souvent perturbée par la maladie, soit à cause de la fatigue, soit à cause du retentissement causé par la tumeur, soit à cause des effets secondaires générés par les traitements.
Pendant les traitements, un arrêt de travail de quelques semaines ou quelques mois est fréquent, mais il est aussi possible d’adapter les horaires des soins à son activité professionnelle.
Une reprise à temps partiel (« temps partiel thérapeutique ») peut faciliter la reprise progressive d’une activité professionnelle. Parfois, la tumeur ou les traitements reçus sont responsables de séquelles qui constituent un handicap pour la vie quotidienne et professionnelle. Dans ce cas, la reconnaissance comme « travailleur handicapé » permet de bénéficier d’un accompagnement pour retrouver un emploi adapté. Cette reconnaissance ouvre droit également, dans certaines conditions, à des aides sociales et financières.