L’insuline sert à régler le taux de sucre dans le sang. Lorsqu’il y en a trop, le pancréas demande à ses cellules de sécréter de l’insuline. Chose faite, le taux de sucre baisse et la cellule se repose.
Dans le diabète, ces cellules ne font plus ou mal leur travail, selon les deux types de diabète.
Le diabète de type 1, c’est celui des jeunes… C’est aussi le moins fréquent… Dans cette maladie, la cellule du pancréas est autodétruite par une réaction inexpliquée de l’organisme. Cela survient assez brutalement, plutôt chez les enfants et les adultes jeunes. Les cellules détruites ne sécrètent plus du tout d’insuline. La vie n’est donc plus possible et, avant qu’on n’ait à disposition de l’insuline injectable, ces malades décédaient très rapidement. Aujourd’hui, en s’injectant plusieurs fois par jour des doses d’insuline, la vie est normale.
Le diabète de type 2, c’est celui qui concerne deux à trois millions de Français.
Son explication est dans l’épuisement progressif des cellules du pancréas, qui, trop sollicitées – par des repas trop fréquents et trop copieux –, deviennent paresseuses. Elles peinent à sécréter la bonne dose d’insuline et, surtout, le font de façon anarchique.
On commence par mettre au régime pour manger moins sucré, préconiser de faire de l’activité physique pour brûler le sucre. Puis, il existe de nombreux médicaments qui vont de ceux qui augmentent l’utilisation du sucre par le foie ou les muscles, qui stimulent la cellule paresseuse du pancréas, jusqu’aux nouveaux qui se proposent d’augmenter l’élimination du sucre dans les urines.
Mais l’actualité des congrès 2015 de la spécialité nous a apporté deux notions fondamentales.
D’abord, chez les diabétiques de type 1. Contrairement à ce que l’on pensait, toutes les cellules du pancréas ne sont pas détruites. On vient de s’apercevoir qu’il en restait un certain nombre, de l’ordre de 20 %. Ce qui ouvre des perspectives très intéressantes, pour peu que l’on apprenne à les relancer. C’est une vraie révolution en perspective.
L’autre nouveauté, c’est la révélation que la cellule du pancréas des diabétiques de type 2 n’est pas épuisée, comme on le pensait, mais « stressée » par différents mécanismes que l’on commence à comprendre, ce qui est fondamentalement différent pour mettre au point des traitements.
L’insuline sert à régler le taux de sucre dans le sang. Lorsqu’il y en a trop, le pancréas demande à ses cellules de sécréter de l’insuline. Chose faite, le taux de sucre baisse et la cellule se repose.
Dans le diabète, ces cellules ne font plus ou mal leur travail, selon les deux types de diabète.
Le diabète de type 1, c’est celui des jeunes… C’est aussi le moins fréquent… Dans cette maladie, la cellule du pancréas est autodétruite par une réaction inexpliquée de l’organisme. Cela survient assez brutalement, plutôt chez les enfants et les adultes jeunes. Les cellules détruites ne sécrètent plus du tout d’insuline. La vie n’est donc plus possible et, avant qu’on n’ait à disposition de l’insuline injectable, ces malades décédaient très rapidement. Aujourd’hui, en s’injectant plusieurs fois par jour des doses d’insuline, la vie est normale.
Le diabète de type 2, c’est celui qui concerne deux à trois millions de Français.
Son explication est dans l’épuisement progressif des cellules du pancréas, qui, trop sollicitées – par des repas trop fréquents et trop copieux –, deviennent paresseuses. Elles peinent à sécréter la bonne dose d’insuline et, surtout, le font de façon anarchique.
On commence par mettre au régime pour manger moins sucré, préconiser de faire de l’activité physique pour brûler le sucre. Puis, il existe de nombreux médicaments qui vont de ceux qui augmentent l’utilisation du sucre par le foie ou les muscles, qui stimulent la cellule paresseuse du pancréas, jusqu’aux nouveaux qui se proposent d’augmenter l’élimination du sucre dans les urines.
Mais l’actualité des congrès 2015 de la spécialité nous a apporté deux notions fondamentales.
D’abord, chez les diabétiques de type 1. Contrairement à ce que l’on pensait, toutes les cellules du pancréas ne sont pas détruites. On vient de s’apercevoir qu’il en restait un certain nombre, de l’ordre de 20 %. Ce qui ouvre des perspectives très intéressantes, pour peu que l’on apprenne à les relancer. C’est une vraie révolution en perspective.
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