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Ce médicament appartient au(x) groupe(s) générique(s) suivants :
Gélule (Composition pour Une gélule)
7,5 mg
Les libellés affichés ci-dessous ne sont que des résumés ou extraits issus des avis rendus par la Commission de la Transparence.
Seul l'avis complet de la Commission de la Transparence fait référence.
Cet avis est consultable à partir du lien "Avis du jj/mm/aaaa" ou encore sur demande auprès de la HAS . Les avis et synthèses d'avis contiennent un paragraphe sur la place du médicament dans la stratégie thérapeutique.
| Valeur du SMR | Avis | Motif de l'évaluation | Résumé de l'avis |
|---|---|---|---|
| Faible | Avis du 23/09/2020 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID (lénalidomide) en association avec le rituximab est faible dans le traitement du lymphome folliculaire (de grade 1, 2 ou 3a) préalablement traité chez les patients adultes non-réfractaires au rituximab (patients non préalablement traités par rituximab ou qui nont pas rechuté sous traitement incluant le rituximab ou dans les 6 mois suivant son arrêt). |
| Insuffisant | Avis du 01/04/2020 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID est insuffisant pour justifier dune prise en charge par la solidarité nationale au regard des alternatives disponibles dans lindication « en association avec le bortézomib et la dexaméthasone pour le traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe ». |
| Faible | Avis du 18/03/2020 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID (lénalidomide) est faible dans lindication « en monothérapie pour le traitement dentretien du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes ayant reçu une autogreffe de cellules souches ». |
| Important | Avis du 25/01/2017 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID dans lextension dindication « traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe » est important dans le cadre de son administration en association à la dexaméthasone jusquà la progression de la maladie. |
| Insuffisant | Avis du 25/01/2017 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID dans lextension dindication « traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe » est insuffisant pour une prise en charge par la solidarité nationale dans le cadre de son administration en association avec le melphalan et la prednisone suivis dune monothérapie dentretien en raison dun groupe comparateur (melphalan + prednisone) non pertinent et dune augmentation, bien que faible, de survenue de seconds cancers primitifs avec lutilisation du lénalidomide en association au melphalan. |
| Important | Avis du 08/03/2017 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID dans lextension dindication « lymphome à cellules du manteau en rechute ou réfractaire » est important. |
| Faible | Avis du 23/09/2020 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID (lénalidomide) en association avec le rituximab est faible dans le traitement du lymphome folliculaire (de grade 1, 2 ou 3a) préalablement traité chez les patients adultes non-réfractaires au rituximab (patients non préalablement traités par rituximab ou qui nont pas rechuté sous traitement incluant le rituximab ou dans les 6 mois suivant son arrêt). |
| Insuffisant | Avis du 01/04/2020 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID est insuffisant pour justifier dune prise en charge par la solidarité nationale au regard des alternatives disponibles dans lindication « en association avec le bortézomib et la dexaméthasone pour le traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe ». |
| Faible | Avis du 18/03/2020 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID (lénalidomide) est faible dans lindication « en monothérapie pour le traitement dentretien du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes ayant reçu une autogreffe de cellules souches ». |
| Important | Avis du 25/01/2017 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID dans lextension dindication « traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe » est important dans le cadre de son administration en association à la dexaméthasone jusquà la progression de la maladie. |
| Insuffisant | Avis du 25/01/2017 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID dans lextension dindication « traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe » est insuffisant pour une prise en charge par la solidarité nationale dans le cadre de son administration en association avec le melphalan et la prednisone suivis dune monothérapie dentretien en raison dun groupe comparateur (melphalan + prednisone) non pertinent et dune augmentation, bien que faible, de survenue de seconds cancers primitifs avec lutilisation du lénalidomide en association au melphalan. |
| Important | Avis du 08/03/2017 | Extension d'indication | Le service médical rendu par REVLIMID dans lextension dindication « lymphome à cellules du manteau en rechute ou réfractaire » est important. |
Les libellés affichés ci-dessous ne sont que des résumés ou extraits issus des avis rendus par la Commission de la Transparence.
Seul l'avis complet de la Commission de la Transparence fait référence.
Cet avis est consultable à partir du lien "Avis du jj/mm/aaaa" ou encore sur demande auprès de la HAS . Les avis et synthèses d'avis contiennent un paragraphe sur la place du médicament dans la stratégie thérapeutique.
| Valeur de l'ASMR | Avis | Motif de l'évaluation | Résumé de l'avis |
|---|---|---|---|
| V (Inexistant) | Avis du 23/09/2020 | Extension d'indication | Compte tenu : de la démonstration de la supériorité de lajout de lénalidomide au rituximab par rapport au rituximab administré seul, en traitement dinduction pour une durée maximum de 12 cycles, en termes de survie sans progression (critère de jugement principal), avec un gain médian de +25 mois (HR = 0,46 . IC95 % [0,34- 0,62]), de labsence de démonstration dun bénéfice en termes de survie globale, critère secondaire exploratoire de létude considéré comme plus cliniquement pertinent que la survie sans progression dans le lymphome folliculaire en rechute, des réserves sur le bien-fondé du choix du comparateur (rituximab en monothérapie) qui ne permet pas dassurer la transposabilité des résultats de cette étude à la pratique française en particulier pour les patients pour lesquels une chimiothérapie de type CHOP, bendamustine ou CVP est réalisable (qui représentaient 71% des patients de létude), de labsence dimpact démontré sur la qualité de vie, la Commission considère que |
| V (Inexistant) | Avis du 18/03/2020 | Extension d'indication | Prenant en compte¿: la démonstration de la supériorité de REVLIMID (lénalidomide) par rapport au placebo dans deux études cliniques en termes de survie sans progression (gain absolu de 15 mois ou 18 mois selon létude considérée), sans démonstration robuste dun bénéfice sur la survie globale, les événements indésirables hématologiques et infectieux potentiellement graves pouvant survenir lors dun traitement dentretien par REVLIMID (lénalidomide), le sur-risque de survenue de cancers secondaires, labsence de donnée permettant de démontrer le maintien de la qualité de vie des patients traités par REVLIMID (lénalidomide) en comparaison à labstention thérapeutique, au regard de ces événements indésirables potentiellement graves et de la surveillance biologique régulière nécessaire lors dun traitement par REVLIMID (lénalidomide), alors que labstention thérapeutique accorde au patient une période sans traitement actif au cours de sa maladie, la Commission considère que REVLIMID (lé |
| Avis du 25/01/2017 | Extension d'indication | Compte tenu du gain de 4,3 mois en survie sans progression (médiane de 25,5 mois versus 21,2 mois) avec un impact sur la survie globale (médiane de 59,1 mois versus 49,1 mois) avec lassociation REVLIMID + dexaméthasone jusquà progression par rapport au protocole MPT (melphalan, prednisone, thalidomide), la Commission considère que REVLIMID, en association avec la dexaméthasone jusquà progression, apporte une amélioration du service médical rendu modérée (ASMR III) par rapport au protocole MPT chez des patients adultes atteints dun myélome multiple non préalablement traités et non éligibles à la greffe. |
|
| V (Inexistant) | Avis du 08/03/2017 | Extension d'indication | Compte tenu : dun gain modeste observé sur la survie sans progression en faveur de REVLIMID par rapport à des mono-chimiothérapies qui ne figurent plus dans la prise en charge actuelle, et en labsence de différence sur la survie globale entre les groupes REVLIMID et mono-chimiothérapie, avec lobservation de décès dans les 20 premières semaines de traitement numériquement plus importants dans le groupe REVLIMID, la Commission considère que REVLIMID en monothérapie, napporte pas damélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport aux mono-chimiothérapies (cytarabine, gemcitabine, fludarabine, rituximab et chlorambucil) dans le traitement des patients adultes présentant un lymphome à cellules du manteau en rechute ou réfractaire. |
| V (Inexistant) | Avis du 23/09/2020 | Extension d'indication | Compte tenu : de la démonstration de la supériorité de lajout de lénalidomide au rituximab par rapport au rituximab administré seul, en traitement dinduction pour une durée maximum de 12 cycles, en termes de survie sans progression (critère de jugement principal), avec un gain médian de +25 mois (HR = 0,46 . IC95 % [0,34- 0,62]), de labsence de démonstration dun bénéfice en termes de survie globale, critère secondaire exploratoire de létude considéré comme plus cliniquement pertinent que la survie sans progression dans le lymphome folliculaire en rechute, des réserves sur le bien-fondé du choix du comparateur (rituximab en monothérapie) qui ne permet pas dassurer la transposabilité des résultats de cette étude à la pratique française en particulier pour les patients pour lesquels une chimiothérapie de type CHOP, bendamustine ou CVP est réalisable (qui représentaient 71% des patients de létude), de labsence dimpact démontré sur la qualité de vie, la Commission considère que |
| V (Inexistant) | Avis du 18/03/2020 | Extension d'indication | Prenant en compte¿: la démonstration de la supériorité de REVLIMID (lénalidomide) par rapport au placebo dans deux études cliniques en termes de survie sans progression (gain absolu de 15 mois ou 18 mois selon létude considérée), sans démonstration robuste dun bénéfice sur la survie globale, les événements indésirables hématologiques et infectieux potentiellement graves pouvant survenir lors dun traitement dentretien par REVLIMID (lénalidomide), le sur-risque de survenue de cancers secondaires, labsence de donnée permettant de démontrer le maintien de la qualité de vie des patients traités par REVLIMID (lénalidomide) en comparaison à labstention thérapeutique, au regard de ces événements indésirables potentiellement graves et de la surveillance biologique régulière nécessaire lors dun traitement par REVLIMID (lénalidomide), alors que labstention thérapeutique accorde au patient une période sans traitement actif au cours de sa maladie, la Commission considère que REVLIMID (lé |
| Avis du 25/01/2017 | Extension d'indication | Compte tenu du gain de 4,3 mois en survie sans progression (médiane de 25,5 mois versus 21,2 mois) avec un impact sur la survie globale (médiane de 59,1 mois versus 49,1 mois) avec lassociation REVLIMID + dexaméthasone jusquà progression par rapport au protocole MPT (melphalan, prednisone, thalidomide), la Commission considère que REVLIMID, en association avec la dexaméthasone jusquà progression, apporte une amélioration du service médical rendu modérée (ASMR III) par rapport au protocole MPT chez des patients adultes atteints dun myélome multiple non préalablement traités et non éligibles à la greffe. |
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| V (Inexistant) | Avis du 08/03/2017 | Extension d'indication | Compte tenu : dun gain modeste observé sur la survie sans progression en faveur de REVLIMID par rapport à des mono-chimiothérapies qui ne figurent plus dans la prise en charge actuelle, et en labsence de différence sur la survie globale entre les groupes REVLIMID et mono-chimiothérapie, avec lobservation de décès dans les 20 premières semaines de traitement numériquement plus importants dans le groupe REVLIMID, la Commission considère que REVLIMID en monothérapie, napporte pas damélioration du service médical rendu (ASMR V) par rapport aux mono-chimiothérapies (cytarabine, gemcitabine, fludarabine, rituximab et chlorambucil) dans le traitement des patients adultes présentant un lymphome à cellules du manteau en rechute ou réfractaire. |