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Les trois infos du jour

La rougeole, la sexualité des Françaises et les gènes cachés de l'autisme

Les flux migratoires favoriseraient les épidémies de rougeole, on en sait plus sur la sexualité des Françaises et des gènes "cachés" pourraient expliquer la gravité des symptômes de l'autisme. Voici les trois infos du jour. 

La rougeole, la sexualité des Françaises et les gènes cachés de l'autisme ABSCENT84 /ISTOCK




Rougeole : les flux migratoires entre provinces et villes favoriseraient les épidémies

Éliminer la rougeole dans le monde. Voilà l’espoir que donne une étude sur la transmission de la maladie en Chine, selon ses propres auteurs, des chercheurs de la Columbia University Mailman School of Public Health (Etats-Unis). Les résultats de leurs travaux sont publiés dans la revue PLOS. Selon eux, les grandes villes chinoises qui attirent des migrants sont en partie responsables de la transmission endémique de la rougeole. Ainsi en 2010, 36% de la population de Pékin était composée de migrants originaires des provinces, dont 8,5% du Shandong, une région au développement économique modéré. Plus d'informations dans notre article

Masturbation, sodomie, sextoys : où en est la vie sexuelle des Françaises en 2019 ?

Cinquante ans après Mai 68, quels rapports les Françaises entretiennent-elles avec leur sexualité ? Un sondage de l’Ifop, réalisé en partenariat avec Elle, fait le point sur les pratiques actuelles. Premier enseignement : jamais les Françaises n'ont été aussi nombreuses à succomber aux joies de l'onanisme... En 2019, trois femmes sur quatre (76%) admettent s'être déjà masturbées au cours de leur vie, contre 60% en 2006, 42% en 1992 et à peine 19% en 1970. En l'espace de près de 50 ans, la proportion de femmes déclarant s'être livrées à la masturbation a donc été multipliée par quatre. Plus de détails ici.

Autisme : des gènes cachés à l’origine de la gravité des symptômes ?

Un enfant sur 100 est atteint d’autisme dans les pays développés. En France, ce trouble touche environ 640 000 personnes, dont 160 000 enfants. Les garçons sont quatre fois plus concernés que les filles. On estime que l’autisme a une composante génétique importante. Or, les analyses génétiques classiques n’ont pas encore permis d’expliquer ce lien. Une nouvelle étude, menée par des chercheurs de l’Université du Colorado (Etats-Unis), explique que les gènes impliqués dans l’autisme sont une partie du génome humain complexe et difficile à étudier. On vous explique dans notre article.

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