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Vitamine D : un faible taux associé à un surrisque cardiovasculaire

Une récente étude américaine vient d’établir un lien entre la vitamine D et le risque de maladies cardiovasculaires. En consommer réduirait les risques. 

Vitamine D : un faible taux associé à un surrisque cardiovasculaire Pix5/CITAlliance




La vitamine D réduirait le risque de développer des pathologies cardiovasculaires (accidents vasculaire cérébral, insuffisances cardiaques, infarctus) selon une étude du centre médical d’Intermountain à Salt Lake City (Utah, Etats-Unis), présentée lors du congrès de l'American college of cardiology (Etats-Unis).
Pour cette étude, les scientifiques ont recruté 4200 participants américains, âgés entre 52 et 76 ans. Un quart d’entre eux étaient diabétiques et soixante-dix pour cent présentaient une pathologie coronarienne. Les chercheurs ont dosé la quantité des deux formes de vitamine D : celle sous forme libre (biodisponible) et celle liée à des protéines sanguines.


10 à 15 % de la vitamine D utilisables

Les chercheurs ont constaté que dans l'organisme humain seuls 10 à 15 % de la vitamine D est sous forme libre, et donc utilisable par les cellules. Les résultats indiquent aussi que la survenue d'accidents cardiovasculaires est liée aux concentrations des vitamines D.
« Notre étude a révélé que de faibles niveaux de vitamine D semblent être associés à des risques de maladies cardiovasculaires, a commenté Heidi May, principal auteur de l’étude. L’évaluation précise du taux de vitamine D biodisponible permettrait une meilleure prescription. » Les chercheurs évalueront prochainement la relation entre taux de vitamine D et risque cardiovasculaire sur une plus large population.

 

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