Pourquoi Docteur
Friday 05 March 2021
  • Accueil
  • Question d’Actu
  • Vu dans la Presse
  • enquêtes
  • santéTV
  • Mieux vivre
  • les gestes santé
  • sexo
  • Suivez-nous
    Pourquoi Docteur
    Pourquoi Docteur
  • Consultez
  • J’ai mal...
  • Médicaments
  • Maladies
Vous recherchez
J'ai mal à...
Bras et mains Bras et mains Bras et mains Tête et cou Torse et haut du dos Jambes et pied
Mon enfant à mal à...
J'ai mal
Médicament
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
Répertoire de l'ANSM
NOS DOSSIERS TRAITEMENTS
Morphine et opioïdes forts
Anticoagulants
Cortisone
Maladies
A
B
C
D
E
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
LES MALADIES
Polyarthrite rhumatoïde
Psoriasis
Cholestérol
Spondylarthrite ankylosante
Infarctus du myocarde
Asthme
Voir toutes les fiches
Voir tous les traitements
Voir toutes les maladies
ACCUEIL
MÉDICAMENTS
MALADIES
J'AI MAL À ...
QUESTION D'ACTU
VU DANS LA PRESSE
ENQUÊTES
SANTÉTV
Mieux vivre
CONGRÈS
LES GESTES SANTÉ
CHARTE ÉDITORIALE
CONDITIONS D'UTILISATION
Pourquoi Docteur
Pourquoi Docteur
Pourquoi Docteur
Pourquoi Docteur
Rechercher
Friday 05 March 2021
▼ Publicité ▼

Réagissez
à cet article
Réactions
0
Partager
Noter cet article
1 2 3 4 5
Newsletter
Abonnez-vous
à la newsletter
ACCUEIL
>
Sexo
>
16 bonnes raisons de faire l'amour en 2016
Les bienfaits pour la santé

16 bonnes raisons de faire l'amour en 2016

par Rica Etienne

527 millions de personnes dans le monde auront un rapport sexuel ce 1er janvier. Tant mieux, l'amour est un médicament universel !

16 bonnes raisons de faire l'amour en 2016 SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA
Publié le 01.01.2016 à 06h48
Mise à jour 01.01.2016 à 08h00
A A

A priori, on a plutôt dans l’idée que faire l’amour fatigue le cœur et que si on est cardiaque, mieux vaut s’abstenir ! Et pourtant, selon une étude américaine (1), l’acte sexuel comme tout effort soutenu, permettrait d’éliminer les toxines, d’activer la circulation veineuse et de muscler le cœur.
De 70 à 80 pulsations par minute en moyenne, ce dernier atteint 100 pulsations pendant la période d’excitation, voire 180 au moment de l’orgasme ! Ce serait donc un excellent exercice pour le muscle cardiaque qui a besoin de s’entraîner pour bien se porter.
L’acte sexuel représente un effort équivalent à celui de monter deux étages, si le cardiologue l’autorise (en l’absence de contre-indications majeures), pas d’interdit. Même après un infarctus ou un accident cérébral, les médecins recommandent la reprise progressive de l’activité sexuelle, avec des effets bénéfiques attendus, au moins pour le moral et la confiance en soi.

Bon pour l’espérance de vie

Les statistiques montrent que les couples font l’amour quelques minutes par semaine. On est encore loin du compte question endurance ( 30 minutes, cinq fois par semaine, sont excellentes au plan cardiaque et recommandées à tout âge).
En revanche, pour les 15 millions de Français qui souffrent de problèmes de tension le plus souvent associés à des problèmes de cholestérol, l’étude publiée en 2000 par le British Medical Journal, s’avère rassurante. Celle-ci révèle que les personnes qui ont une vie érotique satisfaisante présentent statistiquement moins de maladies cardiovasculaires et de diabète.

Allant plus loin encore, le Dr David Weeks, chercheur au Royal Hospital d'Edimbourg, en Ecosse , soutient que « faire l'amour au moins trois fois par semaine prolonge l'espérance de vie de dix ans en moyenne». La conclusion du chercheur a été obtenue rétrospectivement après analyse de l'histoire médicale de 3 500 personnes de 18 à 102 ans. Affirmation quelque peu exagérée ? Peut être pas, si on regarde de plus près les autres vertus de l’activité sexuelle.

Si on prend l'hypothèse de 3,5 milliards d'adultes sur 7 milliards en excluant les trop jeunes ou trop âgés, avec une moyenne de 110 rapports par an (un peu plus de 8,7 par mois), on arrive à un nombre de 192, 5 milliards de rapports sexuels par an dans le monde , 6100 rapports sexuels par seconde. Source : planetoscope.com    


Bon contre le cancer de la prostate

Plusieurs études indiquent que les hommes particulièrement actifs sexuellement, réduisent leur risque de cancer de la prostate. 21 éjaculations par mois diminuent le risque de cancer de la prostate de 30 à 40 % par rapport aux hommes ayant quatre à sept rapports par mois ( la moyenne) (2). Selon le Journal of the American Medical Association, plus de 12 éjaculations par mois seraient au minimum nécessaires pour offrir une protection contre le cancer de la prostate.

En France, cette pathologie touche chaque année 40.000 hommes.  Le mécanisme évoqué est simple : la prostate produit l’essentiel de l’éjaculat. La glande se contracte et se vide complètement comme une éponge, ce qui évite la stagnation des sécrétions potentiellement cancérogènes (avec son cortège d’infections et d’inflammation locale).

Bon contre le cancer du sein

Il se pourrait également que les préliminaires amoureux soient bénéfiques pour les femmes dans la prévention du cancer du sein. La stimulation des tétons libère une hormone appelée l’ocytocine. Pendant l’orgasme, cette hormone est produite en grande quantité. On est loin d’une arme absolue contre le mal, mais, même si ça ne fait pas de bien, au moins ça ne fait pas de mal . Beaucoup de femmes craignent, à tort, que la stimulation régulière des seins provoque une tumeur.  

Un hypnotique naturel

L’amour est un hypnotique naturel contre l’insomnie.  Aussitôt après les ébats, beaucoup d’hommes éprouvent le besoin de s’endormir et les femmes sont comme apaisées. La sérotonine et la dopamine libérées entraînent une euphorie, associée au plaisir et à la détente. Des endorphines sont également délivrées, entraînant un état de relaxation, favorable à l’endormissement.

Un antistress efficace

L’amour déstresse, sauf problèmes particuliers : angoisse de performance, troubles de l’érection ou de la lubrification. Une étude américaine en apporte la confirmation. Le psychologue Stuart Brody (3) a étudié les conséquences de l’activité sexuelle sur une cinquantaine de personnes, utilisant comme marqueur la tension artérielle. Il évaluait leur réaction au stress ( prise de parole en public, opération de calcul mental) après deux semaines d’activité sexuelle, mêlant pénétration, jeux érotiques ou abstinence. Les personnes ayant eu le plus de rapports avec pénétration étaient aussi celles qui retrouvaient le plus vite une tension artérielle normale après une situation stressante.
Selon les déclarations du Dr Brody (4), « ces effets ne sont pas uniquement liés à l'apaisement de court terme suivant l'orgasme, mais perdurent pendant au moins une semaine ». L’une des hypothèses évoquées pour cet effet calmant est la libération de substances comme l’ocytocine dans le cerveau.

Un dopant pour le couple

Mais tout cela n’est encore rien à côté de l’effet stimulant et psychologique de l’acte sexuel sur le sentiment amoureux.  Tous les thérapeutes de couples vous le diront, plus on le pratique, plus on a de chances de s’aimer et au minimum de conserver une relation intime.

 

(1) Sexual intercourse and risk of ischaemic stroke and coronary heart disease : the Caerphilly study, J.Epidemiology Community Health, 2002

(2) Selon le Pr Graham Giles ( du Cancer Council of Victoria), l’auteur d’une étude australienne réalisée sur près de 2500 hommes

(3) Biological Psychology, vol 71:214-222

(4) New Scientist 26 janvier 2006

 

LIENS SUR LE MÉME THEME
  • Le sexe entretient la jeunesse
  • Le sexe est plutôt bénéfique pour le cœur
NOUS VOUS RECOMMANDONS
Comment décrocher de l'addiction au porno
Comment naît l'attachement amoureux
Fantasmes : les secrets de la boîte à rêves
Mon enfant se tripote tout le temps

Envoyer à un ami

Envoyer à un ami

Votre Nom :
Votre Email :
Email de votre ami:
Nom de votre ami:
Laisser votre message:
Combien font 8 + 1 ? :
Les bienfaits pour la santé
16 bonnes raisons de faire l'amour en 2016
par Rica Etienne
+A -A
Publié le 01.01.2016
Mise à jour le 01.01.2016
Mots-clés :
527 millions de personnes dans le monde auront un rapport sexuel ce 1er janvier. Tant mieux, l'amour est un médicament universel !
SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

A priori, on a plutôt dans l’idée que faire l’amour fatigue le cœur et que si on est cardiaque, mieux vaut s’abstenir ! Et pourtant, selon une étude américaine (1), l’acte sexuel comme tout effort soutenu, permettrait d’éliminer les toxines, d’activer la circulation veineuse et de muscler le cœur.
De 70 à 80 pulsations par minute en moyenne, ce dernier atteint 100 pulsations pendant la période d’excitation, voire 180 au moment de l’orgasme ! Ce serait donc un excellent exercice pour le muscle cardiaque qui a besoin de s’entraîner pour bien se porter.
L’acte sexuel représente un effort équivalent à celui de monter deux étages, si le cardiologue l’autorise (en l’absence de contre-indications majeures), pas d’interdit. Même après un infarctus ou un accident cérébral, les médecins recommandent la reprise progressive de l’activité sexuelle, avec des effets bénéfiques attendus, au moins pour le moral et la confiance en soi.

Bon pour l’espérance de vie

Les statistiques montrent que les couples font l’amour quelques minutes par semaine. On est encore loin du compte question endurance ( 30 minutes, cinq fois par semaine, sont excellentes au plan cardiaque et recommandées à tout âge).
En revanche, pour les 15 millions de Français qui souffrent de problèmes de tension le plus souvent associés à des problèmes de cholestérol, l’étude publiée en 2000 par le British Medical Journal, s’avère rassurante. Celle-ci révèle que les personnes qui ont une vie érotique satisfaisante présentent statistiquement moins de maladies cardiovasculaires et de diabète.

Allant plus loin encore, le Dr David Weeks, chercheur au Royal Hospital d'Edimbourg, en Ecosse , soutient que « faire l'amour au moins trois fois par semaine prolonge l'espérance de vie de dix ans en moyenne». La conclusion du chercheur a été obtenue rétrospectivement après analyse de l'histoire médicale de 3 500 personnes de 18 à 102 ans. Affirmation quelque peu exagérée ? Peut être pas, si on regarde de plus près les autres vertus de l’activité sexuelle.

Si on prend l'hypothèse de 3,5 milliards d'adultes sur 7 milliards en excluant les trop jeunes ou trop âgés, avec une moyenne de 110 rapports par an (un peu plus de 8,7 par mois), on arrive à un nombre de 192, 5 milliards de rapports sexuels par an dans le monde , 6100 rapports sexuels par seconde. Source : planetoscope.com    


Bon contre le cancer de la prostate

Plusieurs études indiquent que les hommes particulièrement actifs sexuellement, réduisent leur risque de cancer de la prostate. 21 éjaculations par mois diminuent le risque de cancer de la prostate de 30 à 40 % par rapport aux hommes ayant quatre à sept rapports par mois ( la moyenne) (2). Selon le Journal of the American Medical Association, plus de 12 éjaculations par mois seraient au minimum nécessaires pour offrir une protection contre le cancer de la prostate.

En France, cette pathologie touche chaque année 40.000 hommes.  Le mécanisme évoqué est simple : la prostate produit l’essentiel de l’éjaculat. La glande se contracte et se vide complètement comme une éponge, ce qui évite la stagnation des sécrétions potentiellement cancérogènes (avec son cortège d’infections et d’inflammation locale).

Bon contre le cancer du sein

Il se pourrait également que les préliminaires amoureux soient bénéfiques pour les femmes dans la prévention du cancer du sein. La stimulation des tétons libère une hormone appelée l’ocytocine. Pendant l’orgasme, cette hormone est produite en grande quantité. On est loin d’une arme absolue contre le mal, mais, même si ça ne fait pas de bien, au moins ça ne fait pas de mal . Beaucoup de femmes craignent, à tort, que la stimulation régulière des seins provoque une tumeur.  

Un hypnotique naturel

L’amour est un hypnotique naturel contre l’insomnie.  Aussitôt après les ébats, beaucoup d’hommes éprouvent le besoin de s’endormir et les femmes sont comme apaisées. La sérotonine et la dopamine libérées entraînent une euphorie, associée au plaisir et à la détente. Des endorphines sont également délivrées, entraînant un état de relaxation, favorable à l’endormissement.

Un antistress efficace

L’amour déstresse, sauf problèmes particuliers : angoisse de performance, troubles de l’érection ou de la lubrification. Une étude américaine en apporte la confirmation. Le psychologue Stuart Brody (3) a étudié les conséquences de l’activité sexuelle sur une cinquantaine de personnes, utilisant comme marqueur la tension artérielle. Il évaluait leur réaction au stress ( prise de parole en public, opération de calcul mental) après deux semaines d’activité sexuelle, mêlant pénétration, jeux érotiques ou abstinence. Les personnes ayant eu le plus de rapports avec pénétration étaient aussi celles qui retrouvaient le plus vite une tension artérielle normale après une situation stressante.
Selon les déclarations du Dr Brody (4), « ces effets ne sont pas uniquement liés à l'apaisement de court terme suivant l'orgasme, mais perdurent pendant au moins une semaine ». L’une des hypothèses évoquées pour cet effet calmant est la libération de substances comme l’ocytocine dans le cerveau.

Un dopant pour le couple

Mais tout cela n’est encore rien à côté de l’effet stimulant et psychologique de l’acte sexuel sur le sentiment amoureux.  Tous les thérapeutes de couples vous le diront, plus on le pratique, plus on a de chances de s’aimer et au minimum de conserver une relation intime.

 

(1) Sexual intercourse and risk of ischaemic stroke and coronary heart disease : the Caerphilly study, J.Epidemiology Community Health, 2002

(2) Selon le Pr Graham Giles ( du Cancer Council of Victoria), l’auteur d’une étude australienne réalisée sur près de 2500 hommes

(3) Biological Psychology, vol 71:214-222

(4) New Scientist 26 janvier 2006

 

LIENS SUR LE MÉME THEME
  • Le sexe entretient la jeunesse
  • Le sexe est plutôt bénéfique pour le cœur
Vous aimez cet article ? Abonnez-vous à la newsletter !
NOUS VOUS RECOMMANDONS
Comment décrocher de l'addiction au porno
Comment naît l'attachement amoureux
Fantasmes : les secrets de la boîte à rêves
Mon enfant se tripote tout le temps
Noter cet article
1 2 3 4 5  
 
Partager
0
Enfants
Ados
Hommes
Femmes
Couples
Seniors
▼ Publicité ▼

Progrès récents de la chirurgie orthopédique

Voir l'émission Voir l’émission

LES MALADIES


La laryngite aiguë

La laryngite aiguë : une inflammation de la gorge à différencier de l’épiglottite
iStock/Marcelo Ricardo Daros
ET AUSSI

Ascaridiose
Angine et mal de gorge de l'adulte
Syndrome des jambes sans repos
voir toutes les maladies
Chirurgie cardiaque : les prouesses françaises

Quelle est la différence entre les lubrifiants à l’eau et ceux au silicone, et comment savoir lequel utiliser ?

 

Voir toutes les questions
SANTÉTV
Cancer du sein : oser la reconstruction
Cancer du sein : oser la reconstruction
Suzette Delaloge : 3 femmes sur 4 guérissent du cancer du sein
Suzette Delaloge : 3 femmes sur 4 guérissent du cancer du sein
AVC : des ateliers pour mieux suivre son traitement
AVC : des ateliers pour mieux suivre son traitement
Voir toutes les vidéos
Nous les femmes
Mal de tête
Migraine : faire du sport pour réduire...
Cancer du cerveau
Pesticides : deux tumeurs cérébrales...
Voir l’espace femme
Grand Format Enquêtes
Enquêtes
Conférence internationale sur le VIH - IAS 2017
Conférence internationale sur le VIH - IAS 2017
PMA : le comité d’éthique ouvre la voie à toutes les femmes
PMA : le comité d’éthique ouvre la voie à toutes les femmes
Class action : des espoirs et beaucoup d'inconnues
Class action : des espoirs et beaucoup d'inconnues
Réseaux sociaux : l'observatoire des effets indésirables des médicaments
Réseaux sociaux : l'observatoire des effets indésirables des médicaments
Dépakine : comment l'ANSM a tiré les leçons de cette affaire
Dépakine : comment l'ANSM a tiré les leçons de cette affaire
Moi ministre de la santé
Moi ministre de la santé
Prescriptions hors AMM : des ordonnances aux effets indésirables
Prescriptions hors AMM : des ordonnances aux effets indésirables
1 sur 7
Voir toutes  les enquêtes Voir toutes les enquêtes
Mis à jour le 29 September 2017
par Philippe Berrebi
Cannabis : quand les fast-foods profitent de la légalisation
Voir tous les articles Voir tous les articles
EN DIRECT
Le bonheur, c’est la santé !
Bien-être
Le bonheur, c’est la santé !
Deux associations affirment que l'option végétarienne à la cantine est
Polémique
Deux associations affirment que l'option végétarienne à la cantine est "bénéfique pour l'environnement comme pour la santé"
Covid-19 : le Conseil d’État suspend l’interdiction de sortie des résidents d’Ehpad
"Confinement forcé"
Covid-19 : le Conseil d’État suspend l’interdiction de sortie des résidents d’Ehpad
Gestes barrières : l'heure du relâchement n'est pas venue
Série "les mots de la crise"
Gestes barrières : l'heure du relâchement n'est pas venue
Enfants cancéreux : les oubliés de la crise sanitaire
Pédiatrie
Enfants cancéreux : les oubliés de la crise sanitaire
Des nanoparticules d’or dans des lentilles : la solution pour les daltoniens ?
Daltonisme
Des nanoparticules d’or dans des lentilles : la solution pour les daltoniens ?
Covid-19 : quelles femmes enceintes doivent se faire vacciner en priorité ?
HAS
Covid-19 : quelles femmes enceintes doivent se faire vacciner en priorité ?
Diabète de type 1 : les femmes qui en souffrent ont une période de reproduction plus courte
Fertilité
Diabète de type 1 : les femmes qui en souffrent ont une période de reproduction plus courte
Inde : il
Insolite
Inde : il "ressuscite" pendant son autopsie
Journée mondiale de l'obésité :
Entretien
Journée mondiale de l'obésité : "C'est en général dans la famille que commence le terrorisme pondéral"
Le ginseng rouge supprimerait bien les métastases du cancer du poumon
Médecines traditionnelles
Le ginseng rouge supprimerait bien les métastases du cancer du poumon
Radio Santé Groupe VYV
"Pour les patients qui souffrent d'arthrose, les réductions de mobilité imposées depuis un an sont une vraie perte de chance !"
Journée mondiale :
Témoignage
Journée mondiale : "L’obésité, c’est un combat quotidien"
Covid-19, cancers, infarctus :
Addictologie
Covid-19, cancers, infarctus : "fumer la chicha est aussi dangereux, voire plus, que les cigarettes"
Rapport de l'OMS sur la Surdité
" Dire que la moitié de la population mondiale aura un problème auditif dans 30 ans est peut-être un peu excessif "
Anosmie :
Série "les mots de la crise"
Anosmie : "Pour beaucoup ce n'est pas grave, alors que c'est en fait un vrai handicap"
Les pharmaciens, nouveaux bras de la campagne vaccinale :
Covid-19
Les pharmaciens, nouveaux bras de la campagne vaccinale : "Il était temps", se réjouit le patron de leur syndicat
Régimes riches en graisses : attention à la crise cardiaque
Stress oxydatif
Régimes riches en graisses : attention à la crise cardiaque
Sens de l’orientation : comment faire de votre cerveau un GPS efficace
Neuroscience
Sens de l’orientation : comment faire de votre cerveau un GPS efficace
L’effet placebo, comment ça marche ? Une étude nous dit tout !
Traitement de la douleur
L’effet placebo, comment ça marche ? Une étude nous dit tout !
1 sur 5
Plus d’articles
les gestes santé Vidéos les + vues
Le cancer du côlon : les idées reçues
Le cancer du côlon : les idées reçues
Voir toutes les vidéos Voir toutes les vidéos