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Non assistance à femme en danger : le terrible silence

Non assistance à femme en danger : le terrible silence

Non assistance à femme en danger : le terrible silence Wisnu Haryo Yudhanto
Publié le 11.01.2016 à 15h29
A A

94 % des femmes qui empruntent les transports en commun ont déjà été victimes d’agression, la plupart n’ont pas reçu d’aide. Je ne sais pas vous, mais je me suis souvent demandé ce que je ferai si j’assistais à une agression. Comment réagirais-je ? Aurais-je le courage d’intervenir ? Rien n’est moins sûr… je le sais maintenant.

Le dimanche 4 avril 2004, la journaliste Aurélia Bloch assiste à un viol dasn le train, elle pense que c’est jeu, que la fille est facile, elle ne demande pas d’aide, elle doit sûrement être consentante. En tout cas, ça rassure Aurélia Bloch de le penser. La journaliste ne fait rien, juste s’enfoncer dans son siège, le temps d’arriver à Paris une demi-heure plus tard.
Elle oublie tout, jusqu’à ce qu’un fait divers fasse ressurgir du passé la scène inavouable et obscure. Ce fait-divers, vous en avez sûrement entendu parler vous aussi, c’était la fille de Lille agressée dans le métro en avril 2014. Cécile se faisait violer sans que personne ne lève le petit doigt. Le JT de 20 h en avait fait son ouverture.

10 ans après le viol auquel elle a assisté, Aurélia Bloch signe un documentaire diffusé le 8 décembre dernier sur France 5 : « Non assistance à personne en danger ». Elle réalise ce remarquable travail avec Louis-Matthieu Nivôse. Cette fois, elle essaie de comprendre pourquoi elle n’est pas intervenue, pourquoi, le plus souvent, les témoins n’interviennent pas. Elle essaie aussi de comprendre pourquoi la victime elle-même reste foudroyée sur place sans opposer de résistance farouche.

 Convoquant psychiatres, sociologues, spécialistes de l’aide aux victimes et une commissaire de police géniale, la journaliste détricote la trame de ces drames intimes qui se déroulent sous les yeux de témoins souvent passifs. Le phénomène n’a rien d’épisodique, il est massif, je l’ai dit,  94 % des femmes qui empruntent les transports en commun ont été agressées d’une manière ou d’une autre. Et là, trois phénomènes vont se mettre en place simultanément pour aboutir à l’impensable : la passivité ou l’impuissance de tous.

 Phénomène n°1, la victime d’agression ne hurle pas, souvent, elle reste pétrifiée sur place. Ce serait à cause d’une petite structure cérébrale, l’amygdale, indique la psychiatre Muriel Salmona dans le documentaire. Elle « disjoncte » , l’agression serait tellement violente, tellement insupportable, que cette « structure d’urgence » déconnecterait les circuits neuronaux, ce qui éviterait « l’explosion » du cerveau qui pourrait mourir de stress. Il s’ensuit la sensation de perte de repères de la victime et son apparente passivité. L’effroi et la sidération empêchent toute réponse ou presque, la victime est comme anesthésiée, elle devient automate. Elle culpabilisera souvent de ne pas avoir suffisamment réagi, on le lui reprochera parfois.

Phénomène n°2, le déni de situation, c’est-à-dire la minimisation de ce qui se passe réellement. Les témoins qui assistent à la scène ne la comprennent pas, ils se disent que ce n’est pas si grave puisque la victime n’appelle pas au secours. Pour eux, la scène n’a pas de sens, et puis l’agresseur a tellement d’aplomb. «  Le témoin peut penser que la victime est consentante, conclut la psychiatre ».

Phénomène N°3, « l’effet spectateur ». Comme l’explique Peggy Chekroun, professeur de psychologie sociale, plus le groupe augmente, moins la victime a de chance d’être aidée. L’union ne fait pas la force, c’est le contraire ! La responsabilité est diluée, chacun observe ce que font les autres membres du groupe et voit comment ils réagissent. Le plus souvent, personne n’intervient. En revanche, lorsque le témoin assiste seul à la scène, il se sent seul responsable, et il s’interpose davantage entre la victime et son agresseur. Trois ou quatre témoins, c’est une responsabilité diluée trois ou quatre fois. Un seul témoin, c’est la responsabilité sur soi à 100 % d'intervenir (ou pas).

Pourquoi le groupe intervient-il moins que la personne isolée ? Selon la sociologue, « l’effet groupe » entraîne la peur d’être jugé et de réagir de manière inappropriée, alors on préfère ne pas intervenir. Et comme le cerveau minimise la situation ( phénomène de déni), le groupe reste immobile, chacun recule sur son siège, chacun plonge davantage dans son journal, chacun regarde avec application son smartphone, chacun écoute la musique sans débrancher les écouteurs, c’est incroyablement démontré dans le documentaire.

Une expérience de fausse agression. Des comédiens simulent une agression dans un abri de bus, il y a parfois plusieurs témoins, parfois un seul. Le groupe réagit moins que le témoin isolé. Les statistiques sont stupéfiantes : 85 % des personnes interviennent lorsqu’elles sont des témoins isolés en situation d’urgence, 31% seulement lorsque le groupe est composé de plusieurs personnes. La faute aux trois phénomènes qui se conjuguent.

 Que faudrait-il faire en tant que témoin d’une agression ? Déjà prendre conscience que « l’effet spectateur » est à l’oeuvre. Cela aide à dépasser sa peur du ridicule ( ! ) et à intervenir. Cette réflexion peut déminer la situation. Ensuite, si l’on assiste à un tel événement, les possibilités sont nombreuses en fonction du contexte et de l’évaluation de la dangerosité de la situation; il n’est pas question de s’offrir en victime devant une bande de voyous déchaînés.
Souvent un simple geste suffit, on peut venir s’asseoir à côté de la victime ou s’approcher d’elle si la situation le permet, essayer de discuter avec les autres témoins et intervenir ensemble. On peut dire stop, «  vous voyez bien qu’elle n’est pas d’accord, foutez lui la paix ». L’agresseur isolé devant tout un groupe fait souvent profil bas. En cas d’agresseur dangereux ou d’un groupe d’agresseurs, on peut alerter le chef de station, un policier à proximité, appeler le 112.

La non-assistance à personne en danger est un délit pénal puni jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75.000€ amende lorsqu’il est avéré que le témoin a bien compris la situation, qu’il ne se met pas en danger en intervenant et qu’intentionnellement, il n’a rien fait.

Les victimes racontent qu’elles sont détruites deux fois dans l’agression, une première fois par l’agresseur, une seconde fois par l’indifférence des témoins, pas un regard, pas un geste d'empathie ou de compassion… Certaines proclament même que la deuxième fois fait plus mal encore que la première. Le psycho-traumatisme est tel qu’il peut durer des années.

Si vous avez l’occasion de voir ce documentaire, ne la ratez pas !

 

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Wisnu Haryo Yudhanto

94 % des femmes qui empruntent les transports en commun ont déjà été victimes d’agression, la plupart n’ont pas reçu d’aide. Je ne sais pas vous, mais je me suis souvent demandé ce que je ferai si j’assistais à une agression. Comment réagirais-je ? Aurais-je le courage d’intervenir ? Rien n’est moins sûr… je le sais maintenant.

Le dimanche 4 avril 2004, la journaliste Aurélia Bloch assiste à un viol dasn le train, elle pense que c’est jeu, que la fille est facile, elle ne demande pas d’aide, elle doit sûrement être consentante. En tout cas, ça rassure Aurélia Bloch de le penser. La journaliste ne fait rien, juste s’enfoncer dans son siège, le temps d’arriver à Paris une demi-heure plus tard.
Elle oublie tout, jusqu’à ce qu’un fait divers fasse ressurgir du passé la scène inavouable et obscure. Ce fait-divers, vous en avez sûrement entendu parler vous aussi, c’était la fille de Lille agressée dans le métro en avril 2014. Cécile se faisait violer sans que personne ne lève le petit doigt. Le JT de 20 h en avait fait son ouverture.

10 ans après le viol auquel elle a assisté, Aurélia Bloch signe un documentaire diffusé le 8 décembre dernier sur France 5 : « Non assistance à personne en danger ». Elle réalise ce remarquable travail avec Louis-Matthieu Nivôse. Cette fois, elle essaie de comprendre pourquoi elle n’est pas intervenue, pourquoi, le plus souvent, les témoins n’interviennent pas. Elle essaie aussi de comprendre pourquoi la victime elle-même reste foudroyée sur place sans opposer de résistance farouche.

 Convoquant psychiatres, sociologues, spécialistes de l’aide aux victimes et une commissaire de police géniale, la journaliste détricote la trame de ces drames intimes qui se déroulent sous les yeux de témoins souvent passifs. Le phénomène n’a rien d’épisodique, il est massif, je l’ai dit,  94 % des femmes qui empruntent les transports en commun ont été agressées d’une manière ou d’une autre. Et là, trois phénomènes vont se mettre en place simultanément pour aboutir à l’impensable : la passivité ou l’impuissance de tous.

 Phénomène n°1, la victime d’agression ne hurle pas, souvent, elle reste pétrifiée sur place. Ce serait à cause d’une petite structure cérébrale, l’amygdale, indique la psychiatre Muriel Salmona dans le documentaire. Elle « disjoncte » , l’agression serait tellement violente, tellement insupportable, que cette « structure d’urgence » déconnecterait les circuits neuronaux, ce qui éviterait « l’explosion » du cerveau qui pourrait mourir de stress. Il s’ensuit la sensation de perte de repères de la victime et son apparente passivité. L’effroi et la sidération empêchent toute réponse ou presque, la victime est comme anesthésiée, elle devient automate. Elle culpabilisera souvent de ne pas avoir suffisamment réagi, on le lui reprochera parfois.

Phénomène n°2, le déni de situation, c’est-à-dire la minimisation de ce qui se passe réellement. Les témoins qui assistent à la scène ne la comprennent pas, ils se disent que ce n’est pas si grave puisque la victime n’appelle pas au secours. Pour eux, la scène n’a pas de sens, et puis l’agresseur a tellement d’aplomb. «  Le témoin peut penser que la victime est consentante, conclut la psychiatre ».

Phénomène N°3, « l’effet spectateur ». Comme l’explique Peggy Chekroun, professeur de psychologie sociale, plus le groupe augmente, moins la victime a de chance d’être aidée. L’union ne fait pas la force, c’est le contraire ! La responsabilité est diluée, chacun observe ce que font les autres membres du groupe et voit comment ils réagissent. Le plus souvent, personne n’intervient. En revanche, lorsque le témoin assiste seul à la scène, il se sent seul responsable, et il s’interpose davantage entre la victime et son agresseur. Trois ou quatre témoins, c’est une responsabilité diluée trois ou quatre fois. Un seul témoin, c’est la responsabilité sur soi à 100 % d'intervenir (ou pas).

Pourquoi le groupe intervient-il moins que la personne isolée ? Selon la sociologue, « l’effet groupe » entraîne la peur d’être jugé et de réagir de manière inappropriée, alors on préfère ne pas intervenir. Et comme le cerveau minimise la situation ( phénomène de déni), le groupe reste immobile, chacun recule sur son siège, chacun plonge davantage dans son journal, chacun regarde avec application son smartphone, chacun écoute la musique sans débrancher les écouteurs, c’est incroyablement démontré dans le documentaire.

Une expérience de fausse agression. Des comédiens simulent une agression dans un abri de bus, il y a parfois plusieurs témoins, parfois un seul. Le groupe réagit moins que le témoin isolé. Les statistiques sont stupéfiantes : 85 % des personnes interviennent lorsqu’elles sont des témoins isolés en situation d’urgence, 31% seulement lorsque le groupe est composé de plusieurs personnes. La faute aux trois phénomènes qui se conjuguent.

 Que faudrait-il faire en tant que témoin d’une agression ? Déjà prendre conscience que « l’effet spectateur » est à l’oeuvre. Cela aide à dépasser sa peur du ridicule ( ! ) et à intervenir. Cette réflexion peut déminer la situation. Ensuite, si l’on assiste à un tel événement, les possibilités sont nombreuses en fonction du contexte et de l’évaluation de la dangerosité de la situation; il n’est pas question de s’offrir en victime devant une bande de voyous déchaînés.
Souvent un simple geste suffit, on peut venir s’asseoir à côté de la victime ou s’approcher d’elle si la situation le permet, essayer de discuter avec les autres témoins et intervenir ensemble. On peut dire stop, «  vous voyez bien qu’elle n’est pas d’accord, foutez lui la paix ». L’agresseur isolé devant tout un groupe fait souvent profil bas. En cas d’agresseur dangereux ou d’un groupe d’agresseurs, on peut alerter le chef de station, un policier à proximité, appeler le 112.

La non-assistance à personne en danger est un délit pénal puni jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75.000€ amende lorsqu’il est avéré que le témoin a bien compris la situation, qu’il ne se met pas en danger en intervenant et qu’intentionnellement, il n’a rien fait.

Les victimes racontent qu’elles sont détruites deux fois dans l’agression, une première fois par l’agresseur, une seconde fois par l’indifférence des témoins, pas un regard, pas un geste d'empathie ou de compassion… Certaines proclament même que la deuxième fois fait plus mal encore que la première. Le psycho-traumatisme est tel qu’il peut durer des années.

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